En 2011, F.Marlin qualifiait notre proposition de rachat des emprunts toxiques de la façon suivante : « vous souhaitez qu’une dépense totale inutile soit effectuée. Je suis persuadé que les Etampois apprécieront votre conception d’une saine gestion des finances communales. » Pendant la campagne électorale en 2014, nous nous sommes exprimés pour engager une démarche juridique et renégocier le montant des pénalités. Sans aucune transparence, et préférant l’opacité des banques, la majorité signe un protocole de rachat, non communicable. La banque exige le paiement de la totalité des pénalités de rachat : 1 200 000€. Pas étonnant que le tarif des repas scolaires augmentent et que les services aux Etampois(es) se dégradent …